jeudi 20 novembre 2008
JAMAIS DEUX SANS TROIS…
J’avais un ami avec qui j’échangeais des discussions qui n’étaient pas très conventionnelles. En fait on passait bien plus de temps à se moquer l’un de l’autre qu’à discuter sérieusement. Qui aime bien châtie bien ! C’est ainsi qu’un soir, sans savoir comment, nous sommes passés de la bise au baiser. Je ne savais pas trop quoi en penser… Il était avant tout un ami et même si, j’avoue, il y avait toujours eu derrière nos échanges une sorte d’attirance cachée, je ne pouvais pas le voir autrement. Malgré tout sur le conseil d’une amie, j’ai accepté de repasser une soirée avec lui afin de voir comment cela évoluerai. Ce soir là, aucun des deux n’était à l’aise dans le nouveau rôle qui nous était attribué. J’aurais du d’ailleurs prévoir ce qu’il allait se passer. La panne… ce qui pour n’importe quel mec est une situation plutôt gênante mais l’est encore plus quand cela se passe avec une personne que l’on voit tous les jours et qui de surcroît appartient au même groupe d’amis que le sien. Pourtant ce problème technique est bien tombé puisqu’il nous a permis que les choses n’aillent pas trop loin entre lui et moi permettant ainsi de sauvegarder notre amitié. Aujourd’hui encore ce qui s’est passé reste tabou puisque nous n’en avons encore jamais osé ce n’est ce qu’évoquer le sujet.
Au-delà de notre amitié, un autre signe aurait du m’avertir que les évènements se dérouleraient ainsi… juste avant lui j’avais eu le droit à deux pannes (le mufle et le trentenaire) or on dit toujours « jamais deux sans trois ». La leçon a en tiré est qu’il ne faut jamais sous estimer les vieux proverbes !
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